Generali France et l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale s’unissent face à l’impact du changement climatique sur la santé humaine

Generali France soutient le Bâtiment de Recherche Biomédicale et sa plateforme Pollurisk

Inauguré en juin 2025 au cœur du campus Mondor, le nouveau Bâtiment de Recherche Biomédicale (BRB) offre des conditions de travail et de collaboration optimales pour environ 170 chercheurs issus de l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB, Inserm/UPEC) et du Labex Vaccine Research Institute (VRI). Pensé pour favoriser les synergies entre recherche, formation et les transferts vers la clinique, le bâtiment est équipé d’une passerelle entre la Faculté de santé de l’UPEC et l’Hôpital Henri-Mondor. Situé à la croisée de la recherche fondamentale, des soins et de la formation, ce bâtiment de recherche biomédicale est un catalyseur d’idées, de talents et de pratiques, pour relever les grands défis de santé publique du XXI^e siècle.

Parmi les grands projets développés au sein du BRB, PolluRisk est une plateforme expérimentale unique en Europe dédiée à l’étude des effets de la pollution atmosphérique sur la santé. Conçue par l’IMRB avec le Laboratoire Interuniversitaire des Systèmes Atmosphériques (LISA) et soutenue par l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale), l’UPEC (Université Paris-Est Créteil) et désormais Generali France, elle étudie les effets de la pollution atmosphérique sur la santé respiratoire, en intégrant biologie, simulation et modélisation.

PolluRisk permet d’exposer des modèles précliniques à divers polluants dans des conditions réalistes et contrôlées en recréant les atmosphères de grandes villes telles que Paris ou Pékin. Grâce à des analyses avancées, elle révèle des impacts méconnus, notamment chez les enfants ou les patients atteints de mucoviscidose. Ce projet innovant vise à développer des méthodologies pionnières et à sensibiliser la société aux enjeux de la qualité de l’air.

L’IMRB rejoint le consortium scientifique supervisé par le Generali Climate Lab 

À l’occasion du lancement du nouveau Ballon Generali de Paris, un consortium scientifique dédié à l’étude de l’impact du réchauffement climatique sur l’environnement et la santé a été constitué, placé sous l’égide du Generali Climate Lab. Cette unité d’excellence est dédiée à la modélisation des risques liées au changement climatique et rassemble une équipe pluridisciplinaire (géographes, climatologues, hydrologues, data scientists, actuaires…).

Ce consortium vise, en coordination avec la communauté scientifique, à renforcer la compréhension des risques et la sensibilisation du public aux enjeux climatiques et à leurs répercussions tant sur l’environnement que sur la santé humaine. L’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB) rejoint aujourd’hui la cohorte de partenaires déjà constituée de :

• Laboratoires et instituts de recherche : le CNRS, ECMWF qui gère deux programmes européens de recherche atmosphère et climat de Copernicus, le Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement (LSCE), le réseau Integrated Carbon Observation System - ICOS cities qui est un réseau scientifique rassemblant 13 pays afin de concevoir conjointement des méthodologies et des services pionniers de mesure des gaz à effet de serre pour les villes,

• L’Association Santé Environnement France (ASEF) qui rassemble des médecins ayant pour objectif de sensibiliser leurs pairs et l’opinion sur les problèmes de santé liées aux dégradations environnementales et au réchauffement climatique,

• Des start-up qui développent des solutions de prévention (AI6 technologies, dont l’une des activités est la prévention du risque de retrait-gonflement des argiles, Lify Air centrée sur la prévention des risques d’allergies liés aux pollens, Meersens qui effectue une mission d’évaluation et de prévention des risques santé liés à la pollution environnementale).

Ce partenariat s’inscrit dans l’engagement de Generali France sur les enjeux de santé-environnement. La qualité de l’air représente un enjeu de santé publique majeur. Les recherches sur les effets de la pollution atmosphérique sur la santé, amplifiés par le dérèglement climatique, occupent désormais une place centrale dans les initiatives visant à adapter les interactions humaines avec l’environnement pour préserver la santé globale.

Grâce aux résultats des recherches fournis par la plateforme PolluRisk, l’IMRB sera en mesure d’apporter une connaissance approfondie des effets de la pollution atmosphérique sur la santé au consortium scientifique.

Elise Ginioux, membre du Comité Exécutif de Generali France en charge de la Durabilité, des Affaires Publiques, du Marketing et de la Communication, déclare : « Generali s’inscrit en vigie des risques liés au changement climatique et fait du Ballon Generali de Paris un outil de mesure pour toujours mieux évaluer les impacts du réchauffement climatique et de la pollution sur la santé humaine. Notre consortium scientifique animé par le Generali Climate Lab s’enrichit désormais de l’expertise précieuse de l’Inserm et de l’IMRB sur les effets de la pollution atmosphérique. Ce partenariat illustre notre volonté de soutenir une recherche de pointe pour mieux mesurer, comprendre, prévenir les impacts du réchauffement climatique et conseiller au mieux nos clients pour accroitre leur résilience face aux risques. »

La présidence de l’UPEC, déclare : « Ce partenariat illustre pleinement la vocation de l’UPEC : mobiliser la recherche, la formation et l’innovation pour répondre aux grands enjeux de société. Le dérèglement climatique et ses conséquences sur la santé humaine représentent un défi majeur pour le XXIe siècle. Avec Generali France, l’Inserm et l’ensemble de nos partenaires, nous renforçons notre capacité collective à développer des solutions scientifiques et médicales de pointe, mais aussi à sensibiliser et à accompagner la société dans ses transformations. Le Bâtiment de Recherche Biomédicale et la mise en œuvre de la plateforme PolluRisk traduisent l’ambition de notre université : mettre la science au service de la santé publique et du bien-être des générations futures ».

Christophe Combadière, directeur de l’Institut Mondor de Recherche Biomédicale (IMRB), déclare : «L’institut est très honoré de rejoindre ce consortium scientifique coordonné par le Generali Climate Lab. Ce partenariat correspond parfaitement à la nécessité de rassembler expertises scientifiques, médicales et assurantielles pour relever les défis majeurs du changement climatique et de ses impacts sur la santé humaine. Grâce au soutien de Generali France, de l’UPEC et de l’Inserm, nous pouvons renforcer le développement de plateformes innovantes comme PolluRisk, unique en Europe, et apporter de nouvelles connaissances indispensables pour mieux comprendre et prévenir les conséquences de la pollution atmosphérique. Je tiens à remercier chaleureusement l’ensemble des partenaires pour leur confiance et leur engagement à nos côtés. »

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